Emballage

Le saviez-vous ? ​

Depuis 2018, grâce à un partenariat noué avec l’entreprise TerraCycle® , les capsules de café usagées de NESCAFÉ® Dolce Gusto® sont entièrement recyclées !​

Les consommateurs peuvent déposer leurs capsules usagées dans l’un des 600 points de collecte publics répartis sur l’hexagone.​

Une fois les capsules collectées, les matières les composant sont séparées mécaniquement. Le marc de café des capsules est composté tandis que les matières plastiques sont broyées, triées, lavées et extrudées en granulés, en fines plaques ou moulées par injection. Après cette transformation, elles servent à la fabrication de produits d'usage courant comme l'aire de jeux offerte à la commune de Challerange dans les Ardennes, où se situe l'usine NESCAFÉ® Dolce Gusto®​

Cette démarche est également solidaire puisqu’elle permet aux points de collecte publics de cumuler des points convertibles en dons financiers pour les associations de leur choix.​
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En savoir plus sur TerraCycle® X NESCAFÉ® Dolce Gusto®

Lancé en septembre 2021, à l’occasion du Congrès mondial de la nature de l’IUCN, le projet expérimental et coopératif I.D.E.A.L (Initiative pour des Déchets d’Emballages Abandonnés Limités) a pour but de mieux protéger et préserver le site naturel du Lac de Sainte-Croix, situé dans le parc du Verdon entre les départements des Alpes de Haute Provence (04) et le Var (83).  

Rassemblant quatre acteurs principaux (la région SUD, la communauté de Communes Lacs et Gorges du Verdon, l’entreprise Citeo et Nestlé en France), en collaboration avec les forces vives locales, le projet vise à identifier les actions et opérations efficaces pour lutter contre les déchets abandonnés. 

 

Les déchets abandonnés : définition et typologie  

On appelle “déchets abandonnés” les déchets qui se retrouvent dans l’environnement de manière inadéquate, volontairement ou par négligence, dans des zones accessibles au public ou sur des terrains privés. 

On distingue deux principaux types de déchets abandonnés ; les déchets dits “concentrés” (déchets verts, d’ameublement, du BTP), et les déchets “diffus“ (mégots de cigarette, sacs en plastique et papier, emballages vides).  

L'action du projet IDEAL est concentrée sur ces déchets diffus. 

Incivilité, inadéquation du dispositif de collecte sur l’espace public, mégarde, envol ou encore dispersion par les animaux sont autant de facteurs qui expliquent la présence de déchets abandonnés en ville et dans la nature. 

Du fait de leur caractère diffus, il est difficile de pouvoir estimer avec précision la quantité et la composition des déchets abandonnés présents sur le territoire. Leur caractérisation relève bien souvent de la bonne volonté de certains acteurs locaux (souvent des associations) qui décident d’organiser des opérations de ramassage de ces déchets. Ces initiatives sont donc souvent isolées et morcelées sur le territoire si bien que les données qui en résultent sont difficile à agréger pour obtenir une vision globale de cette pollution.   

Les déchets abandonnés sont légion au sein du Parc naturel régional du Verdon, comme en témoignent les relevés effectués lors de plusieurs opérations de caractérisation et de dépollution qui s’y sont déroulés ; en 2021, près de 27 tonnes de déchets abandonnés ont été évacués des lacs du Verdon, et sur les sites de Moustiers-Sainte-Marie et Les Salles-Sur-Verdon, ce sont 133 kg / 1220 litres de déchets abandonnés qui ont été ramassés lors de l’opération de caractérisation menée par ReMed Zéro Plastique. 

Les canettes en métal, bouteilles en plastique et en verre représentaient, lors de cette opération, la majorité des déchets abandonnés ramassés. 

 

Un an de travail ponctué de trois étapes majeures  

La mise en place globale du projet, au sein du parc du Verdon, a nécessité dix mois de travail collaboratif entre les différentes parties prenantes, qui se sont réunies au cours de trois grandes étapes. 

La première étape consistait à identifier les sources de production de déchets et les zones d’accumulation des déchets abandonnés. Réalisée entre octobre et décembre 2021, elle a permis de déterminer les acteurs à impliquer. 

Entre février et mars 2022, un atelier collaboratif regroupant toutes les parties prenantes – dont les locales et régionales concernées par le projet (élus de la ville de Verdon, de l’Intercommunalité, de la Région, associations, commerçants et prestataires d’activités de loisirs sur le site, hébergeurs touristiques, riverains et parcs nationaux) a permis de co-construire un plan d’actions à mener et à tester afin de lutter contre cette pollution. Cet atelier représentait la deuxième étape du projet. 

Enfin, la troisième étape, à savoir la mise en place des actions identifiées lors de cet atelier collaboratif, s’est déroulée tout au long de l’été 2022. 

 

Sensibilisation et pédagogie au cœur des actions menées  

Les actions menées durant l’été s’articulent autour de trois piliers principaux : Comprendre, prévenir, traiter. 

Pour comprendre et traiter l’origine de ces déchets jetés sur le territoire du parc du Verdon et les cartographier (typologie et nombre), trois sessions de ramassage et de caractérisation des déchets ont été réalisées sur deux sites problématiques par l’association locale SERVA-Artignosc-sur-Verdon formée par l’association MerTerre, afin d’évaluer l’évolution du gisement de déchets abandonnés. 

En parallèle, un quiz destiné aux vacanciers et aux locaux a permis de mieux appréhender le niveau de connaissance de ces usagers sur le sujet des déchets abandonnés et de les sensibiliser à l’impact de leurs gestes sur la biodiversité. 

Pour prévenir cette pollution, une FAQ a été créée afin d’enrichir les compétences des écogardes, qui sensibilisent les citoyens aux enjeux des déchets abandonnés. 

De son côté, Citeo est intervenu régulièrement auprès des hébergeurs (hôtels, campings, chambre d’hôtes, locations de courte-durée …) afin de les accompagner dans la sensibilisation au tri des déchets et aux écogestes auprès de leurs clients. 

La signalétique a été renforcée à proximité de plusieurs points stratégiques avec l’installation de nouveaux panneaux d’affichages « Gardez et triez vos déchets » dans le Parc Naturel Régional du Verdon afin d’inciter les usagers à adopter les bons réflexes : garder les déchets, les ramasser puis les trier. 

En complément, une fiche pratique listant l’ensemble des bons gestes en matière de prévention et de gestion des déchets abandonnés a été élaborée. Cette fiche, à destination des collectivités et des offices de tourisme, doit leur permettre d’accompagner les organisateurs d’événements en extérieur dans la mise en place de manifestations plus responsables. 

Les résultats de l’expérimentation seront connus en fin d’année. Ils permettront d’évaluer la compréhension et la perception des déchets abandonnés par les usagers du Lac de Sainte-Croix ainsi que l’efficacité des actions mises en œuvre par les acteurs locaux, et leur reproductibilité sur d’autres territoires. Ces enseignements seront édités dans un format accessible à toutes et tous.   

Pour en connaître davantage sur les actions des partenaires du projet pour lutte contre les déchets abandonnés dans les Gorges du Verdon :  

Quel plan d’action IDEAL pour réduire les déchets abandonnés autour du lac de Sainte-Croix ? 

 
#VERDON TRI 

 

A propos de CITEO 

Citeo est une entreprise à mission créée par les entreprises du secteur de la grande consommation et de la distribution pour réduire l’impact environnemental de leurs emballages et papiers, en leur proposant des solutions de réduction, de réemploi, de tri et de recyclage. 

Citeo est l’acteur français de la REP, Responsabilité Elargie des Producteurs, pour les papiers et les emballages ménagers : inscrit dans le code de l’environnement, il signifie que le producteur ou distributeur est responsable de, et finance, l’élimination des déchets provenant de leurs produits.  

Sans but lucratif, Citeo est donc financée par les entreprises pour prendre en charge la fin de vie, dont le recyclage, des emballages ménagers et des papiers. 

Citeo en dates 

2017 : Création de Citeo, né de la fusion de deux sociétés agréées au titre des filières à Responsabilité Élargie du Producteur en matière d’emballages ménagers et de papiers graphiques ; Eco-Emballages (1992) et Ecofolio (2007). 

2020 : Citeo devient entreprise à mission  

Pour en savoir plus sur Citeo 

 

A propos de la Communauté de Communes des Lacs et Gorges du Verdon 

« Territoire le moins peuplé et le plus septentrional du Var, la Communauté de Communes des Lacs et Gorges du Verdon regroupe environ 9 300 habitants sur 540 km², au sein de 16 communes dont seulement 3 comptent plus de 1 000 habitants (Régusse, Aups et Villecroze).  

Territoire rural essentiellement tourné vers la culture de la truffe, de la vigne et de l’olive, il présente également, associé au nom prestigieux du Verdon et de ces célèbres gorges, une dimension touristique de rayonnement international. 

Sur le territoire, priorité a été donnée par la Communauté de Communes aux enjeux de la ruralité, dont notamment la gestion et la valorisation des déchets au service d’un territoire exemplaire avec un objectif de zéro déchet ». 

 

A propos de la Région Sud 

« La Région Sud, au titre de sa compétence en matière de planification des objectifs et projets portant sur la prévention et la gestion des déchets mis en œuvre par les collectivités et acteurs privés, est partenaire du programme IDEAL. De façon plus spécifique, au travers de la démarche « Zéro déchet plastique en décharge en 2030 » initiée dès 2016 et inscrite dans le Plan « Gardons une COP d’avance, la Région s’engage à poursuivre ses efforts en matière de lutte contre les pollutions notamment plastiques, contre les dépôts sauvages dont l’importance nuit au développement économique des filières légales et dont les effets sur l’environnement sont majeurs » 

 

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Les emballages constituent aujourd’hui un enjeu majeur à tous les niveaux de la société : surconsommation, suremballages, fin de vie des produits...​

Nestlé met en place une démarche d’amélioration continue qui vise à limiter l’utilisation de plastique vierge, ainsi qu’à améliorer et optimiser la recyclabilité de ses emballages, conformément à la stratégie des 3R votée en avril 2022.​

Les engagements de Nestlé d’ici 2025 sont de limiter la quantité de matière utilisée dans ses emballages en réduisant de 10% le plastique ainsi que d’1/3 l’utilisation de plastique vierge. De développer des systèmes alternatifs tel que le vrac ou encore les emballages réutilisables pour limiter la création d’emballages et donc la consommation de plastique, et enfin de tendre vers 100% d’emballages recyclables ou réutilisables. ​

Découvrez ci-après une infographie revenant sur les améliorations réalisées sur sept marques Nestlé au cours de l’année écoulée.

 

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« Bulk Avenue » est un projet de vrac initié par Carrefour, s’étendant sur six mois, dans le cadre du Food Transition Pact*, et regroupant plus d’une trentaine de marques nationales.​

 

Depuis juin, le groupe Nestlé, par le biais de trois premières catégories, prend part à ce projet et s’invite dans les linéaires du distributeur au sein de l’hypermarché de Montesson (Yvelines), point de départ de la phase de test pour Nestlé. ​

Sur place, on retrouve deux références Nescafé, trois références pour la catégorie Chocolat et trois références également pour l’alimentation animale avec Purina.​

La marque Nesquik fera bientôt son entrée au sein du Supermarché Carrefour de Montigny le Bretonneux, dans les Yvelines toujours, deuxième magasin sélectionné pour cette phase de test.​

 

Le but ? Tester, entre autres choses, l’appétence des consommateurs pour ce mode de distribution plus respectueux de l’environnement.​

Le projet a été pensé afin de faciliter l’expérience du vrac pour le consommateur sur tous les points, notamment via un dispositif de communication pédagogique complet.​ Mise à disposition de contenants divers (contenants en verre, sacs en papier), notice d’utilisation détaillée, informations concernant le réemploi, ou encore mise à disposition de QR codes à scanner (informations sur la traçabilité, les valeurs nutritionnelles, les allergènes ou encore les conseils d’utilisation) sont autant d’outils mis à disposition des consommateurs pour les accompagner dans cette démarche.​

Les modalités d’un déploiement pérenne et plus étendu sur le territoire français seront décidées en fonction des retours obtenus à l’issue de ces six mois de test.​

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* Food Transition Pact : engagement réciproque entre Carrefour et ses fournisseurs partenaires engagés dans la transition alimentaire pour tous, pour transformer profondément le système alimentaire, et ainsi proposer aux Clients des produits sains, respectueux de la planète, à un prix accessible. (Source : carrefour.com)

Alors que la stratégie nationale pour la réduction, la réutilisation, le réemploi et le recyclage des emballages en plastique à usage unique a été adoptée par décret le 14 avril dernier, Nestlé France fait un point d’étape sur ses avancées et projets pour réduire l’impact environnemental de ses emballages.

 

Alors que “recycler” était le précédent mot d’ordre central, les autorités publiques ont récemment fait évoluer leur approche de la consommation dite responsable, incitant aujourd’hui les Français à développer deux nouvelles habitudes complémentaires : réduire leur consommation et réutiliser, dans la mesure du possible, les objets du quotidien.

Le Ministère de la Transition Écologique, avec l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), a ainsi lancé en 2021 la campagne interfilières “Réduire, Réutiliser, Recycler” (3R), qui présente de manière pédagogique #lesbonneshabitudes à adopter au quotidien pour une consommation plus durable.

Le meilleur emballage est bien celui qui n’existe pas. C’est pour cela que nous travaillons simultanément sur les initiatives pour réduire nos emballages mais aussi les rendre plus responsables, à travers notamment nos choix de matériaux par exemple. Aussi, nous encourageons le réemploi de nos emballages, autrement dit qu’ils puissent être remplis à nouveau de leurs produits initiaux,comme de la poudre de cacao Nesquik ou du café instantané Nescafé. 

​Mathieu Tuau, Responsable Packaging et Développement Durable - Nestlé France

 

Panorama et avancées de Nestlé sur les emballages en 2021

 

En 2021, Nestlé a mis sur le marché en France 122 000 tonnes d’emballages dont un peu plus de 50% sont fabriqués à partir de plastique. Entre 2017 et 2021, Nestlé a réduit de 5% son utilisation totale de plastique et de 20% son utilisation de plastique vierge.

 

Les 3R déjà appliqués chez Nestlé

De manière plus globale, Nestlé s’inscrit dans la campagne 3R développée par les autorités publiques, comme l’explique Mathieu Tuau, Responsable Packaging et Développement Durable Nestlé France :

• RÉDUIRE : “Nestlé s’engage à réduire d’⅓ l’utilisation de plastique vierge dans ses emballages d’ici 2025”

 

En ce qui concerne la réduction de plastique vierge, nous pouvons évoquer à date trois marques ou catégories dont les avancées sur ce segment sont significatives ; il s’agit de Nestlé Waters, Naturnes et Smarties. Chacune représente un exemple de trois solutions permettant de réduire voire de se passer de l’emballage plastique vierge.

• « Nestlé Waters intègre d’ores-et-déjà de la matière recyclée dans toutes ses bouteilles vendues en France » 
• Pour Smarties, la transition de l’emballage plastique vers l’emballage papier représente 30 tonnes de plastique vierge évitées par an en France.
• Enfin, NaturNes, en retirant le couvercle de ses pots, supprime 40 % de plastique vierge dans ses emballages.

Ces trois initiatives s’inscrivent complètement dans la démarche de réduction de Nestlé, en permettant soit de supprimer purement et simplement du plastique (NaturNes), soit de changer de matériau (Smarties) ou encore d’utiliser du plastique recyclé (Nestlé Waters).”

 

• RÉEMPLOYER : “Nestlé participe activement pour changer les habitudes et aller vers plus de réemploi pour ses emballages d’ici 2025”

 

Pionnier sur le ‘test & learn’ pour le réemploi de ses emballages, Nestlé est engagé dans la démarche LOOP depuis fin 2020, initiative qui favorise le réemploi de ses marques iconiques (Ricoré, Nesquik, Chocapic, Vittel, San Pellegrino) grâce à un système de consigne et permet ainsi aux Français de profiter de manière plus responsable de leurs produits favoris tout en réduisant leurs déchets.

Une fois consommés, les emballages vides sont collectés, soit par Carrefour, notre partenaire, qui se rend chez le consommateur, ou le consommateur peut déposer lui-même ses emballages en magasin. Ces derniers sont ensuite nettoyés, remplis et remis en vente.

Le prix de la consigne correspondant à l’emballage du produit est inclus dans le prix d’achat et intégralement remboursé au consommateur une fois les emballages retournés.

En amont de l’intégration[LIlMC1]  de nouvelles marques au sein du projet LOOP, Nestlé va plus loin et se lance dans le vrac via le projet Bulk Avenue. Mené conjointement avec Carrefour, ce projet test s’étendra sur six mois et permettra aux consommateurs de découvrir ces produits Chocolat, Café, Céréales, Dairy et Petfood en vrac. Ce nouveau test vient compléter le dispositif qui avait été mis en place fin 2021 pour la marque NESCAFÉ® dans le magasin Carrefour Market de Paris Sèvres. Lors de ce premier test, une étude consommateurs* avait été réalisée : ceux ayant acheté les produits NESCAFÉ® en vrac avaient jugé l’expérience facile d’utilisation à 82% et avaient estimé à 81% que le café instantané en vrac était une bonne idée. Ils avaient également valorisé l’impact environnemental positif de l’achat en vrac ainsi que les bénéfices économiques possibles grâce à l’achat de la juste quantité de café souhaitée. Ces projets sont donc totalement en phase avec les préoccupations des Français qui souhaitent également voir des grandes marques en vrac. D’après une autre étude Ilec de juin 2021, les attentes des consommateurs vis-à-vis de l’offre en vrac des marques s’orientent à 67 % vers les références phares, plutôt que vers une version bio (17 %) ou une référence secondaire de la marque (17 %).”

*Etude Action Plus, décembre 2021, réalisée au sein du magasin Carrefour de Paris Sèvres, auprès de 150 consommateurs

 

• RECYCLER : “Nestlé ambitionne 100% d’emballages recyclables ou réemployables d’ici 2025”

 

Il faut savoir que Nestlé est la première entreprise agroalimentaire à avoir fondé son propre institut de recherches dédié à l’emballage, l’Institute of Packaging Sciences, qui a vu le jour en 2019 en Suisse.

Pour réaliser cet objectif ambitieux de 100% d’emballages recyclables ou réemployables[LIlMC1] , le Groupe travaille à leur éco-conception pour tendre vers des mono-matériaux recyclables et participe en parallèle au développement des filières de recyclage, comme le recyclage des matériaux souples PP pour certains emballages PURINA, le recyclage des petits emballages, notamment en explorant des voies de recyclage chimiques.”

En phase avec les préoccupations portées par la campagne publique “Recycler, réduire, réutiliser” (3R), Nestlé France travaille à son niveau sur la réduction de son impact carbone, avec l’ambition stratégique d’atteindre 0 émissions nettes carbone en 2050. En guise de première étape sur cette voie, le Groupe s’est fixé de réduire ses émissions carbone de 20% d’ici 2025. Tout le travail réalisé sur l’emballage contribue grandement à l’atteinte de cet objectif puisque les emballages représentent 18% des émissions carbone de la chaîne de valeur sur le marché français.

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LES DECHETS MENAGERS EN FRANCE - CHIFFRES-CLES

(dechets-chiffres-cles-lessentiel-2021-011723.pdf (ademe.fr))

En 2021, 29% des Français, et même 33% des plus de 55 ans, placent les déchets ménagers ou plastiques parmi les deux problèmes environnementaux les plus préoccupants, derrière le réchauffement climatique et la dégradation de la biodiversité.”

Source : 22ème baromètre annuel ADEME, “Représentations sociales du changement climatique”, octobre 2021

Les emballages constituent environ 20% des déchets des ménages français. Le taux de recyclage est de 68%. Parmi ceux-ci, les emballages en plastique constituent 23% des quantités, pour un taux de recyclage de 28%.”

Source : Rapport annuel CITEO en 2020

En 2020, la filière REP* des emballages ménagers a collecté 3,4 millions de tonnes d’emballages ménagers en France.”

Source : ADEME, 2020

*Responsabilité élargie des producteurs

Les ménages représentent 9 % de l’ensemble des déchets en France

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ETUDE SUR LE PREMIER TEST DE VRAC NESCAFÉ®

Etude Action Plus, décembre 2021, réalisée au sein du magasin Carrefour de Paris Sèvres, auprès de 150 consommateurs

• Raisons à la consommation en vrac : 

1. Consommation raisonnée
2. Ecologie

• Freins à la consommation en vrac

1. Manque d’habitude
2. Logistique, hygiène & manque d’infos produit 

EMBALLAGES NESTLÉ - CHIFFRES ANNÉE 2021

En 2021, 89 % des emballages du groupe Nestlé produits en France sont recyclables ; 79 % du plastique utilisé pour produire ces mêmes emballages est recyclable.” (> cible : 100 % à l’horizon 2025).

En 2021, en France, le groupe Nestlé a réduit de 20% l’utilisation de plastique vierge dans ses “primo” emballages/ emballages primaires”.

En 2021, en France, le groupe Nestlé a réduit de 5 % la part totale de plastique utilisée pour ses emballages”.

En 2021, en France, le groupe Nestlé a mis sur le marché 122 kT de produits (= emballages (dont 62 kT de plastique)”.

 

Part de plastique recyclable : 40 %

Part de papier / carton : 22 %

Part de verre : 13 %

Plastiques non recyclables (chiffre ? cf camembert partie orange) = % ?[LC2] 

Part d’aluminium : 9 %

Source : packaging RSE Roadmap KPI’s- 28/03/2022

 

RECYCLAGE & ENVIRONNEMENT 

Interrogés sur les priorités qui devraient être celles du Gouvernement après la crise sanitaire, 27 % des Français citent la réduction des effets de l’Homme sur la planète, derrière le renforcement des services publics et la relocalisation de la production, mais devant la baisse des dépenses publiques.

Dans un contexte économique complexe et de poursuite de la pandémie, 25 % se disent prêts à payer une taxe environnementale.

Et l’environnement est le deuxième poste pour lequel les Français accepteraient de payer davantage d’impôts (15 % d’entre eux), derrière la santé (22 %) mais devant les retraites (14 %).

Enquête CREDOC-ADEME Sensibilité à l’environnement, action publique et fiscalité environnementale, octobre 2021.

Grâce au recyclage des emballages, 1,6 millions de tonnes d’émission de CO2 sont évitées chaque année, c’est l’équivalent de 780 000 voitures en moins sur les routes pendant un an.

Source Citéo - Campagne Interfilière 3 R du Ministère de la Transition Écologique

​TRI & TRANSFORMATION DES DÉCHETS

89% des Français trient les emballages, dont 51 % systématiquement.”

Source Citéo - Chiffres du recyclage en France - TRI ET RECYCLAGE DES EMBALLAGES MÉNAGERS - Chiffres clés 2020

51,5 KG d'emballages triés par habitant et par an en moyenne dont 18,2 kg d’emballages en papier-carton, acier, aluminium et plastiques, et 33,3 kg d’emballages en verre.”

Source Citéo - Chiffres du recyclage en France - TRI ET RECYCLAGE DES EMBALLAGES MÉNAGERS - Chiffres clés 2020

 

Le recyclage des déchets approvisionne 71% de l’industrie papetière, 46 % de la sidérurgie, 61 % de l’industrie du verre et 14,5 % de la production d’emballages en plastiques”.

Source : Déchets / chiffres clés 2021 (gouvernement) - Sources :

ADEME, Bilan du recyclage 2007-2017 – Emplois : SDES, données provisoires. Remarque : les ratios sont arrondis et des écarts peuvent exister avec les autres parties du document.

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DÉFINITION - REP

Le principe de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP) existe dans la loi française depuis 1975. Il prévoit que les entreprises qui mettent sur le marché des produits sont responsables de l'ensemble du cycle de vie du produit. Avec plus d’une vingtaine de filières REP, la France en est assurément un des leaders mondiaux. En 2020, les filières REP couvraient un gisement de 17,1 millions de tonnes de déchets, dont 9,1 millions de tonnes sont collectées séparément et 8,1 millions de tonnes recyclées.

​Source : Déchets / chiffres clés 2021 (gouvernement) - zoom REP p.20  

 

Depuis 60 ans, Nesquik est le partenaire préféré du petit-déjeuner des Français, petits et grands. ​

Au-delà d'être une marque iconique, Nesquik a su évoluer au gré des attentes des consommateurs notamment en termes de recette avec, par exemple, Nesquik Bio.​

La célèbre poudre chocolatée a également fait évoluer son emballage en proposant une poche papier recyclable.

La densité du transport maritime, la pêche, les activités industrielles et touristiques font de la Méditerranée la mer la plus polluée au monde.  

Mais, la Méditerranée représente également un formidable laboratoire d’expérimentation grâce à sa topographie semi-fermée permettant de retracer les sources de la pollution et surtout de mesurer l’impact des solutions mises en œuvre. 

Face à ce double constat, la Fondation Prince Albert II de Monaco décide de s’allier à quatre autres acteurs leaders de la protection des océans - les Fondations Tara Océan, Surfrider Europe, MAVA et l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) – pour créer en 2015 « Beyond Plastic Med », alias BeMed. L’objectif est simple : soutenir et mettre en relation plusieurs entités pour concevoir et mettre en œuvre des solutions durables et nouvelles en faveur de la réduction de la pollution plastique des océans, en Méditerranée.  

Conscient qu’agir en vase clos limite les initiatives, BeMed crée en 2020 son Collège d’Entreprises prêtes à agir sur le terrain afin de développer des solutions concrètes de prévention de la pollution plastique, en étroite collaboration avec plusieurs experts scientifiques indépendants et référents. Ainsi les 11 membres du Collège et tout récemment Nestlé échangent avec un comité scientifique réunissant l’Institut de Recherche Dupuy de Lôme, l’École Nationale Supérieure des Arts et Métiers de Chambéry, l’Institut National de Recherche Agronomique (INRA), le CNRS et le Laboratoire d’Océanographie Microbienne de Banyuls. 

Cette recherche et ce dialogue sciences-industries fondés sur le partage de la connaissance des industriels concernant les problématiques autour du plastique et sur l’expertise des scientifiques débouchent très rapidement sur le projet pilote de mise en œuvre d’un hôtel « zéro plastique à usage unique » à Marseille. Reposant sur une double action dans l’hôtel - d’un côté, supprimer les produits et emballages plastiques à usage unique et trouver des alternatives durables ; de l’autre, améliorer le système de collecte et de valorisation pour tous les déchets plastiques résiduels – cette expérimentation, concernant notamment les emballages de produits alimentaires, devrait permettre à terme, d’accompagner la transition du secteur hôtelier vers cette réduction. Ainsi, la Tunisie, sera le prochain territoire d’expérimentation d’un hôtel « zéro déchets plastiques à usage unique » en 2022.  

Pour Nestlé, rejoindre le Collège d’Entreprises BeMed en tant que partenaire de projets concrets et avoir un impact direct au service d’une mer Méditerranée à préserver, représente un acte fort en faveur de l’atteinte de ses objectifs non seuelement d’avoir 100% de ses emballages recyclables ou réutilisables mais aussi de réduire de 30% l’utilisation des plastiques vierges d’ici 2025.  

Par ailleurs, cet acte s’inscrit dans une démarche globale du Groupe, « Mediterranean Clean Up », visant à lancer des projets concrets de lutte contre la pollution plastique dans ses marchés présents sur le pourtour méditerranéen comme les projets en cours en Grèce, en Egypte et en France, dans les gorges du Verdon, pour tenter de mieux comprendre et solutionner le problème des déchets chroniques dans certaines zones très localisées. 

Pacte National sur les emballages plastiques : interview croisée d’Alexandre Le Vernoy et de Mathieu Tuau

En tant qu’acteur majeur de l’industrie agroalimentaire, Nestlé en France a un rôle important à jouer pour réduire les emballages plastiques et proposer des solutions alternatives innovantes et plus durables. C’est en ce sens que le Groupe a signé le Pacte National sur les emballages plastiques le 21 février 2019, sur lequel Mathieu Tuau, Responsable Packaging et Développement Durable Nestlé France et Alexandre le Vernoy, Coordinateur du Pacte reviennent dans cette interview. 

 

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1. En quoi consiste le Pacte National sur les emballages plastiques ? 

Alexandre le Vernoy, « Coordinateur du Pacte National sur les Emballages Plastiques » 

Le Pacte National sur les emballages plastiques est un acte fondateur initié en 2019 par le ministère de la Transition écologique pour transformer en profondeur l’usage du plastique dans les emballages d’ici à 2025. 

Les entreprises Auchan Retail France, Bel, Biscuits Bouvard, Carrefour, Casino, Coca-Cola European Partners, Danone, General Mills, Innocent, L´Oréal, LSDH, Nestlé France, PepsiCo, Système-U, Unilever, Veolia ainsi que deux ONG, la Fondation Tara Expéditions et le WWF France, ont rejoint le pacte sous l’égide du ministère pour Repenser collectivement un usage plus sobre et innover pour une économie circulaire. L’ensemble des signataires souscrivent à une vision commune dans laquelle le plastique ne devient jamais un déchet car il est réutilisé et recyclé. 

Cette vision commune est importante car c’est ce qui fait la spécificité et la force du pacte. Les entreprises signataires mettent leurs réseaux et leurs ressources au profit d’actions collectives inédites.  

Mathieu Tuau, « Responsable Packaging et Développement Durable » 

L’économie circulaire est au cœur de la vision du pacte National sur les emballages plastiques. A l’origine du projet, il y a l’idée de passer d’une société du plastique jetable à un modèle de gestion sobre et efficace du plastique tout en limitant son usage. D’ailleurs le pacte, sa vision commune et ses objectifs sont soutenus par la fondation Ellen MacArthur qui s’est donnée pour mission d’accélérer la transition vers une économie circulaire. Pour ce faire, elle appelle les entreprises au niveau mondial à rejoindre le « Global Commitment de la New Plastics Economy » pour repenser collectivement l’avenir du plastique.  

Nestlé a répondu à l’appel collectif du ministère et à celui de la fondation Ellen MacAthur avec qui nous entretenons des liens forts. Nous pensons que la collaboration et l’action collective sont essentielles pour parvenir à un changement dans notre façon de penser et de nous engager sur la question des plastiques.  

 

2. A quoi s’engagent les entreprises signataires ? 

[Alexandre le Vernoy]

Aujourd’hui, 55% des unités d’emballages mises sur le marché en France sont en plastique. Pour réduire cette part, les entreprises signataires souscrivent à des objectifs ambitieux à court terme : atteindre 60 % d’emballages plastiques effectivement recyclés d’ici 2022, et 100 % d’emballages réutilisables ou recyclables d’ici 2025. Les entreprises doivent aussi incorporer en moyenne 30% de matières recyclées dans les emballages. Enfin, les signataires devront, d’ici 2025, établir la liste des emballages considérés comme “problématiques” ou “inutiles” et prendre des mesures pour leur élimination. 

[Mathieu Tuau] 

En raison de la nature de leur activité, les entreprises agroalimentaires sont des gros producteurs d’emballages. Elles ont donc un rôle majeur à jouer dans cette transition vers un avenir sans déchets plastiques et doivent répondre aux attentes des consommateurs pour des produits plus responsables. Chez Nestlé, nous sommes pleinement conscients de ce défi.  

 

3. Pourquoi Nestlé a signé ce pacte ? 

[Mathieu Tuau]

Nous avons rejoint le pacte pour inspirer d’autres entreprises et les convaincre de la nécessité de développer une économie circulaire du plastique et jouer un rôle actif dans cette transition.  

Chez Nestlé, rejoindre la Pacte était une évidence car nous étions déjà engagés dans une profonde transformation et une réduction de nos emballages plastiques avant de le signer. À la fin de l’année 2017, nous avions déjà éliminé plus de 100 000 tonnes de matériaux d’emballage de notre processus de production, ce qui équivaut à 10 fois la Tour Eiffel ! On retrouve plusieurs engagements du pacte dans les engagements qui avaient été pris par le Groupe pour réduire les emballages plastiques.  

A ce jour, 87% des emballages de Nestlé sont déjà recyclables ou réutilisables. Mais nous souhaitons aller plus loin ! Les engagements contenus dans le Pacte ont intégré la feuille de route de Nestlé sur les emballages plastiques. A l’occasion du premier anniversaire de la signature du pacte, nous nous sommes engagés à rendre 100% de nos emballages recyclables ou réutilisables à l’horizon 2025. Cette ambition s’articule autour de trois axes principaux : éliminer les plastiques non recyclables, encourager l’utilisation de plastiques qui permettent de meilleurs taux de recyclage, et éliminer ou modifier des combinaisons complexes de matériaux d’emballage. 

Pour plus d’informations : https://pacte-national-emballages-plastiques.fr/

 

4. Plusieurs associations environnementales dénoncent le manque d’ambition du Pacte. Quelles actions concrètes ont été réalisées depuis 2019 ? 

[Alexandre le Vernoy]

Nous avons accéléré les travaux depuis 2019 pour atteindre les objectifs fixés et répondre aux attentes fortes des pouvoirs publics, des ONG et des citoyens sur la lutte contre la pollution plastique. Afin de suivre les changements entrepris et avoir un impact concret, nous avons mis en place des mécanismes de reporting et des outils communs pour gagner en efficacité au quotidien. Le Pacte a publié en juillet 2021 son premier rapport de progrès. Ce rapport propose un état des lieux inédit sur la mise en marché des signataires et les premiers résultats engagement par engagement. La transparence que nous demandons aux entreprises sur le suivi de leurs progrès réalisés en fonction des objectifs ambitieux fixés dans le Pacte est essentielle. Par exemple, les entreprises signataires indiquent le taux de recyclabilité de leurs emballages ou encore de matières plastiques recyclées incorporées. 

Nous avons aussi identifié la liste des emballages inutiles, analysé en quoi ils sont problématiques et identifié des leviers d’actions. Enfin, nous avons proposé des modèles pour le réemploi. La participation de Citeo et Veolia en qualité de recycleurs dans le pacte garantissent l’efficacité des actions de collecte et de recyclage. 

[Mathieu Tuau]

Depuis que nous avons rejoint le pacte, nous avons renforcé nos efforts pour la recyclabilité et la réduction du plastique.  

Nous avons, par exemple, investi pour transformer les emballages plastiques non recyclables de certains de nos produits en emballages recyclables. C’est notamment le cas de SMARTIES, qui devient la première marque internationale de confiserie à proposer l’ensemble de ses emballages en papier recyclable. Cela se matérialise par la suppression d’approximativement 250 millions de packagings qui contenaient du plastique vendus par an dans le monde. C’est également le cas du produit Purina Beyond qui est désormais emballé en mono matériaux recyclables. Nous avons également pris la décision en interne de sortir du polystyrène. 

L’innovation est au cœur de notre stratégie pour réduire les emballages plastiques. Nestlé est le premier groupe agroalimentaire à s’être doté d’un institut de recherche spécifique sur l’emballage à Lausanne. Une cinquantaine de scientifiques recrutés dans le monde entier travaillent à plein temps sur cette question. 

 

5. Comment parvenez-vous à mettre autour de la table des ONG et des entreprises qui peuvent avoir des intérêts contradictoires ?  

[Alexandre le Vernoy]

La problématique du plastique est un sujet qui nous concerne tous et c’est ce qui fait la force du pacte. Le travail que nous initions se fait dans la concertation au sein d’un comité de pilotage composé d’ONG et d’entreprises signataires. Des groupes de travaux collectifs sont menés et soutenus tout au long de l’année. 

[Mathieu Tuau]

Chez Nestlé, nous travaillons régulièrement avec des ONG pour construire un avenir plus durable et limiter l’impact de nos activités sur l’environnement. Les ONG sont de véritables partenaires et nous avons besoin de leurs expertises pour construire ensemble des solutions durables, qu’il s’agisse du recyclage, de la réduction des gaz à effet de serre, de la nutrition, de l’agroforesterie… Elles nous permettent également de nous challenger pour nous efforcer de toujours faire mieux. 

 

6. ​Est-ce que la France est à l’avant-garde de la réduction des emballages plastiques ?  

[Alexandre le Vernoy]

Le Pacte National sur les emballages plastiques est une opération inédite en France car elle rassemble pour la première fois l’Etat, les ONG représentatives de la société civile et des entreprises privées autour d’une vision commune pour construire une économie circulaire du plastique. Cette vision est portée et encadrée par la feuille de route pour l’économie circulaire que le gouvernement a mis en place pour proposer des mesures concrètes et passer d’un modèle économique linéaire « fabriquer, consommer, jeter » à un modèle circulaire.  

La France est un pays moteur de la lutte contre la pollution plastique en Europe. 14 états membres de l’Union européenne ont signé un pacte plastique européen sous l’impulsion de la France et des Pays-Bas et en accord avec la vision développée par la nouvelle économie des plastiques de la Fondation Ellen MacArthur. Ce pacte fournit un cadre plus général que le pacte national et permet à la France de réaffirmer ses engagements dans le cadre d’une coalition européenne. 

Eco responsabilité, développement durable, zéro déchets, autant de nouvelles tendances qui modifient en profondeur notre manière de consommer… Pour lutter contre le gaspillage alimentaire et limiter les emballages, de nombreux consommateurs se tournent vers le vrac.

Découvrez dans ce podcast les enjeux du vrac, son mode d’emploi et des conseils pour l’adopter.